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Avec plus de 60 000 nouveaux cas par an en France il représente le premier cancer masculin. Un homme sur sept en sera atteint au cours de sa vie et il est par ailleurs responsable de 8 100 décès dans notre pays soit plus du double des accidents de la route.
Néanmoins le cancer de la prostate n'entre toujours pas dans le cadre des programmes de dépistage organisé car selon la haute autorité de santé (HAS) qui s'appuie sur des études anciennes, il ne remplit pas tous les critères.
De ce fait, nous sommes trop souvent scandalisés de constater qu'aucun dépistage n'a été proposé aux patients qui nous contactent et qui se retrouvent face à une prise en charge lourde qui aurait pu être évitée par un dépistage précoce.
Pourtant des études récentes, scientifiquement fiables font état de grands progrès dans la capacité de détection du cancer de la prostate grâce aux nouvelles méthodes permettant de définir avec une grande précision si le cancer sera à évolution lente sans risque de migrer vers d'autres organes ou au contraire s'il s'agit d'un cancer agressif à combattre sans attendre.
Refuser cette médecine préventive diminue les résultats de la médecine curative et augmente la médecine palliative avec des résultats désastreux sur la vie des patients et les comptes de la sécurité sociale.
Forte de ses retours d'expérience et de la connaissance des récentes avancées des méthodes de détections, l'APCLP, avec l'aide de ses adhérents, s'engage dans un large programme de sensibilisation des parlementaires.
Nous comptons sur les urologues porteurs des nouvelles méthodes de dépistage associés aux avis et avis des parlementaires qui siègent dans les commissions des affaires sociales pour obtenir gain de cause afin d'améliorer la vie et la survie des hommes pour leur permettre de conserver une qualité de vie satisfaisante au sein du couple et de la famille.