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Une association à l'échelle régionale et extra régionale, à l'écoute du patient, qui peut apporter une aide à la décision du choix du traitement. Nous avons des délégués par département qui sont à votre écoute
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Nouvelle République : article pour Movember

L'APCLP a été très active pour Movember et une page dédié lui est consacrée. Voici un article paru dans le journal La Nouvelle République édition des 2 Sèvres.

Interview radio de l'APCLP par RCF

Gaston-Pierre Nony et Jean-Marie Foucher ont été interviewés lundi 26 février lors de la permanence au CH de Niort par la RCF (Radio Chrétienne Francophone). C'est une radio libre qui émet sur le canal 89.3.

Le correspondant local qui a réalisé l'interview est Laurent Di Miglio, le président de la CDU du CH de Niort.

Ecouter l'Interview

Vienne Rurale Vendredi 17 novembre 2023

Voici l'interview de Jean Bernard Villesange sur la cancer de la prostate.

Interview de Claude Redien 

Dans le cadre de Movember, Voici une interview de Claude Redien, Vice président de l'APCLP sur le cancer de la prostate. Cliquer sur Interview pour télécharger le fichier Audio sur votre ordinateur pour l'écouter.

interview

Association Française d'Urologie (AFU)

L'AFU publie la mise à jour de ses recommandations du comité de cancérologie période 2022 - 2024.

Le document est consultable via le bouton ci-dessous.

Recommandations AFU

Réunion des adhérents le 14 septembre 2023 à Niort

L'équipe Sud Deux-Sèvres, Jean PEROCHON, Gaston-Pierre NONY, Jean-Marie FOUCHER & Claude REDIEN organisait pour sa deuxième année consécutive une réunion en direction des adhérents de son secteur. Deux intervenants extérieurs étaient invités

  • Mme Nathalie RENOUX Coordonnatrice régionale e-santé Nouvelle-Aquitaine
  • Dr Samuel GOURJAULT, oncologue du CH Niort Les récidives du cancer de la prostate et leurs prises en charge
CR de la réunion

Dépistage du cancer de la prostate.

Mieux comprendre pourquoi ce cancer ne bénéficie pas encore d'un programme de dépistage organisé.

La synthèse de notre secrétaire :Jean Bernard VILLESANGE

Avec 1 seul test du PSA (antigène prostatique spécifique), on repairerait des millions d'hommes à qui on pourrait offrir des thérapies et des soins adaptés, car pris à temps ce cancer se guérit. De plus, un test urinaire "Hope" en cours d'essais cliniques à l'Institut Curie, permettrait , s'il est validé, de réduire de façon importante le nombre de biopsies dont 50% sont négatives et d'évaluer le risque d'évolution d'une tumeur... Actuellement, une biopsie est nécessaire pour détecter un cancer de la prostate , car il n'existe aucun marqueur moléculaire pour surveiller les tumeurs non agressives.

https://curie.fr/actualite/innovation/cancer-de-la-prostate-un-nouvel-essai-clinique-pour-valider-des-biomarqueurs (doc de nov 2021)

  • Tous les cancers de la prostate doivent être diagnostiqués, mais tous ne doivent pas être traités.
  • Une table ronde sur la prévention du cancer de la prostate a eu lieu à l'Assemblée Nationale le 21 septembre 2021 avec pour conclusion:  « le dosage du PSA ne sert à rien, donc inutilité du diagnostic ... ». Ces conclusions faisaient référence à une étude américaine réalisée il y a une quinzaine d'années, précisant que le dépistage n'apportait pas de bénéfice en terme de survie. Or cette étude a été démentie et rendue caduque, car 80% des patients sélectionnés "non dépistés" avaient eu un ou plusieurs dosages du PSA …

https://toute-la.veille-acteurs-sante.fr/181161/table-ronde-sur-la-prevention-du-cancer-de-la-prostate-et-designation-de-rapporteurs-assemblee-nationale/ (annonce de cette table ronde)

https://www.dailymotion.com/video/x84d42z (vidéo toujours visible pour ceux qui ont le temps, avis de la HAS à la 31ème minute)

  • L'INCA et la Sécurité Sociale (je n'ai pas vérifié pour l'ARS), précisent que c'est le choix du patient d'être dépisté ou non, mais sur leur site, ils donnent des arguments contre en référence à l'étude américaine annulée et découragent ainsi de faire le dépistage : on ne parle pas de surveillance active pour les cancers non agressifs ni d'IRM prostatique (multiparamétrique) pour diagnostiquer les cancers agressifs et la nécessité de faire des prélèvements (biopsies). A vérifier.
  • Avec ces avis divergents, les médecins généralistes sont dans un certain flou et ne savent pas bien orienter leurs patients.
  • Une meilleure information du public est essentielle, car beaucoup trop d'informations (quand elles circulent) sont erronées ou incomplètes, au détriment de la vie et de la qualité de vie des hommes. Avec l'allongement de l'espérance de vie, ils seront de plus en plus nombreux à être concernés par un diagnostic du cancer de la prostate, que le dépistage précoce permet de traiter ou non et/ou de surveiller.
  • La surveillance active et l'IRM multiparamétrique ont beaucoup modifié et réduit les sur-diagnostics et les sur-traitements souvent mis en avant.
  • Comme pour le cancer du sein et colorectal, le dépistage individuel du cancer de la prostate doit être préconisé et pour ce faire,un dépistage de masse de ce cancer devrait être mis en œuvre à l'échelle nationale... 

Voilà quelques infos ou réflexions pour argumenter la nécessité du dépistage de masse pour le cancer de la prostate.

 

Lu pour vous. Claude REDIEN

En France, trois programmes de dépistage sont organisés pour les personnes éligibles, afin de détecter les premiers signes d’une éventuelle tumeur. Ils concernent le cancer du sein, celui du cancer du col de l’utérus et du cancer colorectal. Grâce à de récentes avancées, le cancer du poumon pourrait bientôt rejoindre la liste ce qui n'est pas le cas du cancer de la prostate.

Sein, col de l’utérus, côlon-rectum. Ces localisations de cancers font l’objet d’un dépistage organisé par les pouvoirs publics, afin de "détecter la présence d’une maladie à un stade précoce chez des personnes a priori en bonne santé et qui ne présentent pas encore de symptômes apparents", détaille la Haute Autorité de Santé (HAS).

Ils ciblent spécifiquement des populations considérées comme plus à risque de développer la maladie, à qui des examens sont proposés à intervalle régulier. Objectif : diagnostiquer la maladie le plus tôt possible pour la traiter rapidement ou freiner sa progression.

Les critères nécessaires

Il n’est, à ce jour, pas encore possible de dépister tous les types de cancer. Pour envisager un dépistage, un certain nombre de critères sont nécessaires, rappelle la HAS :

  • La maladie doit être détectable précocement mais à évolution lente, avec "une période suffisamment longue entre le moment où la maladie est décelable et l’apparition des premiers symptômes, si l’on veut pouvoir mener un dépistage, confirmer le diagnostic et instaurer un traitement efficace"
  • Un examen de dépistage adapté doit être disponible
  • Des traitements efficaces doivent pouvoir être rapidement proposés et mis en œuvre
  • Les personnes les plus à risque de la maladie doivent être facilement identifiables
  • Le dépistage doit diminuer la mortalité
  • Le dépistage doit présenter plus d’avantages que d’inconvénients.

Bénéfice/risque

Pour les cancers du sein, du col de l’utérus et colorectal, ces critères sont réunis : voilà pourquoi ils peuvent faire l’objet d’un dépistage organisé. Mais ce n’est pas le cas du cancer de la prostate par exemple : "le bénéfice du dépistage du cancer de la prostate n’est pas clairement démontré : il n’est pas certain que ce dépistage permette d’éviter des décès liés (à cette maladie)", indique l’Assurance-maladie. Il est avéré que ce type de cancer, dont l’évolution est difficile à prévoir, entraîne surdiagnostics et sur-traitements.

Source : https://destinationsante.com/cancer-quelles-sont-les-perspectives-de-depistage.html

 

Une raison de plus pour demander le dépistage généralisé

Un test sanguin permet de détecter le cancer de la prostate avec une précision de 94 %

La nouvelle méthode combine un test standard avec un test épigénétique, lequel détecte les conformations chromosomiques spécifiques au cancer de la prostate dans le sang des patients.

Des chercheurs de l'université d'East Anglia (Angleterre) ont mis au point un nouveau test sanguin permettant de détecter le cancer de la prostate avec une plus grande précision que les méthodes actuelles. Le test sanguin est baptisé « Prostate Screening EpiSwitch » (PSE) et détecte les conformations chromosomiques spécifiques au cancer dans le sang. L’étude pilote sur 147 patients a visé à comparer un test sanguin de l'antigène spécifique de la prostate (PSA) standard avec le nouveau test, qui combine le test PSA et un test épigénétique EpiSwitch.

Les résultats montrent que le nouveau test combiné permet une augmentation significative de la détection du cancer de la prostate par rapport au PSA ou au test épigénétique seul. Sa précision à hauteur de 94 % pourrait améliorer le diagnostic du cancer de la prostate en cas de réussite dans d'autres essais.

Un nouveau test sanguin bien plus efficace que les méthodes actuelles

Actuellement, le test PSA est largement utilisé mais n'est pas suffisamment précis pour détecter ce type de cancer, ce qui entraîne de nombreuses biopsies inutiles de la prostate pour les hommes présentant une maladie bénigne. « Seul environ un quart des personnes qui subissent une biopsie de la prostate en raison d'un taux élevé de PSA sont atteintes d'un cancer de la prostate », a déclaré dans un communiqué le professeur Dmitry Pshezhetskiy, auteur principal de l'étude.

Au contraire, le professeur affirme que « lorsqu'il est testé dans le contexte du dépistage d'une population à risque, le test PSE permet un diagnostic rapide et peu invasif du cancer de la prostate avec des performances impressionnantes. Cela suggère un réel avantage à des fins de diagnostic et de dépistage ».

source : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/cancer-prostate-test-sanguin-permet-detecter-cancer-prostate-precision-94-103383/

Intelligence artificielle et cancer : Une nouvelle approche

Dans les faits, l’IA dépasse déjà l’œil dans la détection de certaines tumeurs à partir d’images radiologiques mais pourrait-elle se révéler plus performante que l’expert humain ?

 

Quelle sera demain la place de l’intelligence artificielle (IA) en médecine ? Les problèmes diagnostiques pourraient-ils être résolus non plus par un Dr House mais par son alter ego numérique ? Dans les faits, l’IA dépasse déjà l’œil dans la détection de certaines tumeurs à partir d’images radiologiques (mammographies, IRM)… Ce qui a fait dire à certains que les ordinateurs allaient sous peu remplacer les experts humains.

 

Mais, contrairement à ces prédictions, le radiologue n’a pas disparu : au contraire, une « collaboration » inattendue s’est mise en place entre lui et la machine qui devait prendre sa place. Le premier travaillant à canaliser les capacités et points forts de la seconde afin d’améliorer interprétation et diagnostic au bénéfice des patients.

Cette question de l’aide au bon diagnostic est centrale, et vaut tant en psychiatrie où l’IA fait également ses premiers pas qu’en cancérologie… En anatomie pathologique, soit « l’examen des organes, tissus ou cellules pour repérer et analyser des anomalies liées à une maladie (cancers, etc.) », les perspectives et les promesses sont énormes.

«Une avancée remarquable» : ces intelligences artificielles qui aident à diagnostiquer les cancers (europe1.fr)

Retrouvez L'APCLP à Tours le 04/02/23

L'APCLP sera présent à cette manifestation. Vous pourrez nous retrouver au pole 1 en compagnie de 7 autres associations de patients atteints de cancer.

Venez nombreux

Gilles Thibaudault 

Président de l'APCLP

Détail du programme : Plusieurs pôles seront composés d’associations de patients et d’usagers, pour permettre aux participants de découvrir les structures qui oeuvrent, dans le département, pour la lutte contre les cancers.
 

Un espace conférence sera également proposé pour découvrir et comprendre les bienfaits des soins oncologiques de support mais également des soins d’accompagnement type Méditation, Art-Thérapie (avec participation de professionnels diplômés).
 

A noter que la conférence phare de la journée sera animé par Sébastien Landry, sexologue clinicien spécialisé en cancérologie, sur le thème « Vie intime et sexuelle pendant et après un cancer ».
 

Enfin, pour permettre aux personnes de tester les activités, un espace de démonstration sera ouvert avec un accompagnement de nos professionnels.

Radio Grand Lieu 

Allo Bobo, 1er numéro : Vivre avec un cancer de la prostate.

Présentée par Théo, ALLO BOBO traite des sujets de santé qui touchent des milliers de personnes avec dynamisme, bonne humeur et surtout en rendant l’information accessible à tous.

Pour cette édition de Novembre, nous abordons le cancer de la prostate. Et rien de mieux pour en parler que des personnes de terrain avec l’Association de Patients porteurs d’un Cancer Localisé de la Prostate (APCLP), Gilles Thibaudault (président) et François Gareil (directeur web) qui nous apportes leurs expertises et leurs vécus de patients avec positivité !

Podcast
Radio Grand Lieu

Webinar avec les associations de patients CerHom et APCLP.

Comment aider un proche qui vit avec un cancer de la prostate ?
mercredi 30 novembre 2022 à 18h00 (CET)

      

L'événement se tiendra en ligne le mercredi 30 novembre à 18 heures, inscription anonyme et gratuite avec les associations de patients CerHom et APCLP.

 

S'inscrire

Traitement par micro ondes

Le Dr Potiron a invité 3 personnes de notre Association pour visualiser un traitement par micro ondes à l'Hôpital Atlantis à St Herblain (44) le 1er Septembre 2022 ,

Cette nouvelle technologie remplace la focalisation par l'appareil Focal One .

Nous allons vous relater à nos adhérents cette expérience et détailler ce nouveau traitement.

Encore merci au Dr Potiron pour cette invitation.

Etude de Mme Mathilde Queille sur le cancer de la prostate

A l'Université Toulouse Jean Jaurés, dans le cadre de l'UFR DE PSYCHOLOGIE Mention Psychologie Clinique, Psychopathologie, Psychologie de la Santé Parcours Psychologie de la Santé, Mme Mathilde Queille a rédigé une étude qui porte sur l’impact du cancer de la prostate et ses traitements sur la qualité de vie et la sexualité des patients diagnostiqués.

Nous sommes en attente d'autorisation de sa publication.

 

Cancer de la prostate : cinq bactéries en cause

Rédigé par Estelle B. et publié le 29 avril 2022

Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme en France. Dans les mécanismes à l’origine de plusieurs cancers, les chercheurs ont retrouvé des souches bactériennes spécifiques. Concernant le cancer prostatique, des travaux ont déjà mis en évidence une association entre la présence de certaines bactéries et le développement d’une tumeur prostatique. Récemment, des chercheurs sont allés plus loin sur cette question. Ils viennent de publier leurs résultats dans la revue scientifique European Urology Oncology.

Pour consulter l'article cliquer sur le lien en bleu sous le titre "Rédigé par Estelle B"

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13 rue des Deux Communes
86 180 BUXEROLLES apclp86@orange.fr
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